INFORMATIONS & CHRONIQUES

BACKSIGHT / KIDS ON THE MOVE: split - CD

KW016
Année: 2007
Label: Kawaii rds / Eternalis rds / Nothing To Prove rds / Field Of Hope rds

Oldschool hardcore moderne, entre mosh, mélodie et passion! BACKSIGHT sont de France, et KOTM de Malaisie! Pour fan de VERSE, BANE, FC FIVE, COMEBACK KID, CHAMPION, NO CHOICE ON THIS MATTER...

kw016

Tracklist!

01. better days never come (BACKSIGHT)
02. another way (BACKSIGHT)
03. ghost of the past (BACKSIGHT)
04. never fall into resignation (BACKSIGHT)
05. the problem (BACKSIGHT)
06. domination (BACKSIGHT)
07. action trough action (KIDS ON THE MOVE)
08. starting line (KIDS ON THE MOVE)
09. drop it (KIDS ON THE MOVE)
10. dulu, kini, selamanya (KIDS ON THE MOVE)
11. reality check (KIDS ON THE MOVE)
12. in gratitude (KIDS ON THE MOVE)

Contact!

http://www.myspace.com/backsight
http://www.geocities.com/xkidswhokickx/
http://www.eternalisrecords.com/
http://www.myspace.com/nothingtoproverecordsuk
http://www.fieldsofhoperecords.com/

Chroniques!

Contexte : Kawaii Records c’est un petit label tenu par un seul homme, David Carville (rendons-lui hommage), basé dans la très prolifique Nièvre, et dont ce split est la 17ème prod. Mais c’est aussi une des meilleures distro hexagonales en matière de punk/hardcore asiatique ou sud-américain. Ici on ne déroge pas à cet aspect cosmopolite DIY, puisque c’est avec les malaisiens de Kids On The Move que nos frenchies de Backsight partagent ce disque. Pas mal de péripéties, propres aux prod indépendantes, avant que cet album ne voie vraiment le jour, une erreur de pressage ayant rendu impossible la lecture des premiers exemplaires livrés… Résultat : un surcoût important pour le label, le genre de mésaventures qui méritent d’être évoquées tant on sait les difficultés qu’ont les petites structures à survivre en France. La solution : le regroupement de moyens en dépit des frontières ! Ce disque en est un parfait exemple puisque les labels Eternalis (France), Field Of Hope (Allemagne) et Nothing To Prove (Royaume-Uni) ont participé au financement de ce split joliment intitulé Bridging Ocean et agrémenté d’un très bel artwork… Chronique : Après deux démos et un premier album, See The Damage, en 2005 sur Disagree Records (avec C. Carvin au mastering), les avignonnais de Backsight se sont faits une place de choix dans la nouvelle scène hardcore française. Gros son, message à la fois vindicatif et positif, expérience du live, Backsight c’est un compromis frôlant l’excellence entre puissance hardcore, riffs mélodieux qui aèrent les compos, choeurs puissants, et chant rageur, très typé, qui reste plutôt plaisant à la longue (à mon avis les formats EP ou Split-CD réussissent d’ailleurs beaucoup mieux à ce style). Un des meilleurs groupes français dans ce genre qu’il est devenu commun d’appeler Modern Oldschool Hardcore. Backsight sait ainsi incorporer suffisamment d’éléments mélodiques (« Ghost Of Past »), notamment une basse qui se fait très déliée par moments, et ne pas systématiquement, comme d’autres, céder à l’appel de la mosh part facile (le rythme est le plus souvent à fond de cale). Evidemment il ne s’agit pas ici de réinventer l’eau chaude, le groupe s’applique plutôt à délivrer avec brio un son et un message qu’il ne sera jamais vain de continuer à marteler. Le morceau « Another Way » explique ainsi parfaitement cet état d’esprit, humble et passionné, fustigeant les élitistes comme les résignés de tous poils. Backsight est vraiment un fier représentant de la scène française. Ibaraki en Malaysie, c’est là qu’est né en 2003 le youth crew Division One Champs. Rapidement le groupe change de nom pour Kids On The Move (nom plus ou moins agrémenté des « x » qui vont bien), et pond sa première démo puis un premier album 10 titres, Kids Who Kick. Ce split est donc la deuxième prod digne de ce nom pour ces malaisiens originaires d’un pays où les problèmes ne manquent pas, terreau propice à engendrer des groupes punk plutôt sans concessions. Les xKOTMx donnent eux, davantage dans le hardcore bien oldschool, une prod plus crunchy n’y étant pas étrangère (dommage que le son de la deuxième gratte n’ait pas plus de corps), le quintet porte haut et fort les étendards de groupes de légendes (même en Malaysie donc) comme Minor Threat, Youth Of Today, 7 Seconds etc… Quelques imperfections et maladresses (le morceau en malaisien fait bien rigoler quand même), le groupe paraît moins ’pro’ que ses collègues de la première partie, sans subir trop la comparaison pour autant, grâce à une belle débauche d’énergie (« Set It Straight »). Des compos simples et percutantes (notamment au niveau de riffs clairs bien sentis), des choeurs bien fédérateurs même si le chant est un peu répétitif, des mid tempo dansants qui s’intercalent dans des compos moins ’extrêmes’ et violentes que celles de Backsight, style oblige, mais le tout est plutôt frais finalement (« Action Through Action »). En tout cas vraiment un bon disque, et un bel objet qui plus est ! Pour ce prix-là, soutenir ce genre d’initiatives indépendantes est un plaisir. Let’s dance in da pit ![PUNK FICTION webzine]

Hop ! Un petit split CD pour effet de groupe évoluant dans un style très proche, du HxC trash your school… euh, j'aurais qualifié ça comme ça, pour causes les sons de grattes particulièrement bien travaillés avec des effets et tout mais la structure des morceaux et la voix renvoie directement à MINOR THREAT ou d'autres vieilleries des 80's. Mais non en fait je me prends la tête mais c'est écrit dedans "modern and passionate oldschool hardcore", si ça vous parle plus… C'est un CD promo (merci) uniquement lisible sur ordinateur donc je ne me suis pas trop penché dessus, pour l'anecdote est l'appel au reçu tous les CDs gravés sur ce format chelou est donc au dû repliait un second pressage. Aie! Aie! Je crois entendre des porte-monnaie geindre. J'ai pas vu le vrai CD avec son boîtier mais l'artwork a l'air des plus attrayants et me semble bien adapté au registre des groupes. Alors BACKSIGHT sont français et les KOTM nous viennent de Malaisie, mais tous deux chantent en anglais, mais KOTM se permet une petite chanson dans leur langue maternelle, c'est fou mais je commence à croire qu'un groupe de HxC a peur de ne pas être crédible s'il ne chante pas dans la langue NEGATIVE APPROACH ou de Bill Gates pour démystifier. Aller faut se lâcher un peu ! Les textes sont d'une verve sXe politisés. [NEVER KNOW # 0]

Suite à une erreur de gravures le label s'est retrouvé avec pas mal d'exemplaires en version uniquement lisible sur PC qu'il envoie en promo, donc si vous souhaitez connaître avant d'acheter le vrai CD j'en ai quelques-uns à donner. Il s'agit donc d'un split entre deux groupes de hardcore, BACKSIGHT de France et KOTM de Malaisie. La nationalité est selon moi la seule différence entre ces deux groupes, officiant tous les deux dans un hardcore assez calme (ce serait de la oi je dirais "mi-tempo" comme ils disent, mais ça se dit pour le hardcore ?), un peu triste sans être emo. Sa gueule quand même hein ! Les deux groupes chantent en anglais a pas une chanson malaisien, 12 titres en tout au très bon son. [APATRIDE # 9]

Bon j'ai reçu ce disque juste avant de boucler le zine donc ça va être vite torché. Il y a eu un blème-pro avec le pressage ce qui fait que le skeudi est lisible seulement sur un ordinateur, ce qui est emmerdant. J'en ai donc eu 4 d'un coup plus que David bazarde les stocks avant de recevoir les vrais CDs. 12 titres. Six pour les toulousains, six pour les malais. L'égalité est respectée. Musicalement, même tarif. Modern oldschool HC comme on dit et comme on devrait pas le dire. Hein Richard? Niveau lyrics, sXe, libération, scène hardcore pour BACKEUSIGHT, action, amitié et réalité pour LES ENFANTS DE LA BOUGEANCE. En bonus, une photo de JU qui fait caca en l'air. [HEY YOU! # 12]

Il en a mis du temps à sortir ce split… près d'un an après l'enregistrement des morceaux (du moins pour BACKSIGHT) on l'a enfin entre nos mains, malgré les déboires de pressage et autres bêtise… La malédiction Backsight'tienne est bien toujours là! Bref qu'est ce qu'on a pour nos oreilles… BACKSIGHT prend un tournant résolument plus mélodique et va moins chercher la mosh facile que son précédent cd! Le chant parlé/posé va très bien avec les morceaux. Ca reste bien moderne, mais entrainant! Des paroles intéressantes comme d'habitude. KOTM se sont pas en reste, avec un hardcore peut être un chouia plus oldschool, moins personnel, mais toujours tout à fait écoutable. A mettre en toutes les oreilles donc! [THANX FOR NOTHING # 6]

Quatre labels européens auront été nécessaires à la sortie de Bridging Oceans (Eternalis Records, Kawaii Records, Nothing To Prove Records et Fields Of Hope Records), split réunissant deux jeunes formations de hardcore old/new school aux parcours similaires pour ce qui est des réalisations, puisqu'elles ont toutes deux déjà un album à leur actif : See The Damage pour les français de Backsight et Kids Who Kick pour les malaisiens de Kids On The Move. Malgrè une production assez moyenne, tant au niveau des batteries que du chant de Julien (Backsight), les deux groupes présentent ici six nouvelles compos chacun avec l'enthousiasme pour toile de fond. C'est Backsight qui ouvre la voie avec la très mélodique introduction de "Better Days Never Come". Les six morceaux qui s'enchaînent ensuite, influencés par Comeback Kid, Champion, Bane ou Verse, sont de très bonne facture, bien que traditionnels. Mais s'ils ne sont pas originaux, les titres n'en restent pas moins extrêmement efficaces, comportant tous les éléments indispensables à un hardcore performant : mélodies recherchées, alternance de parties rapides et de passages plus lents et lourds, changements de tempo, solides back vocals. On notera également de réels progrès par rapport à l'album précédent, notamment concernant la voix, qui, moins aigüe, s'est faite plus posée et limpide. Musicalement, les mélodies sont plus fouillées et l'on sent plus de maturité dans l'ensemble. Indéniablement influencé par les mêmes groupes que Backsight, Kids On The Move poursuit par des morceaux sonnant très agréablement à l'oreille. Rapide, énergique, entraînant, le hardcore des malaisiens possède un aspect très groovy qui donne immédiatement envie de bouger. Le chant, proche du flow d'Aaron Bedard de Bane, bien que la voix soit nettement plus aigüe, soutenu par des choeurs vigoureux, est également assez étonnant. On sent poindre chez Kids On The Move un soupçon d'originalité très intéressant qui ne demande qu'à être développé. L'ensemble est vif, enlevé et plutôt bien réussi, hormis le cocasse et folklorique "Dulu Kini Selamanya" qui permet de vérifier que le malais (au même titre que le français) n'est définitivement pas une langue indiquée pour entonner un morceau de hardcore. Au final, un split très sympathique, à conseiller aux fans inconditionnels de hardcore old/new scool, qui présente deux groupes prometteurs, avec peut-être une longueur d'avance pour Kids On The Move en matière d'originalité. [www.metalorgie.com]

Décidemment, l'influence des groupes comme Comeback Kid, Champion ou Bane a le vent en poupe en ce moment, et on ne compte plus les réalisations hardcore ayant en toile de fond l'ombre desdits combos. La dernière offrande en date nous vient d'Eternalis Records. C'est un split avec les français de Backsight et les malaisiens de Kids On The Move dans la pure mouvance précitée. Cependant, influence ne veut pas dire plagiat et les deux groupes tirent leur épingle du jeu avec pas mal de brio à défaut de véritable créativité. A tout seigneur, tout honneur, ce sont les p'tits français de Backsight qui sonnent la charge de la première salve hardcore du disque. Energique à souhait et rondement menée la musique du groupe va droit au but sans trop de fioriture inutile. Enchaînant les titres de fort belle facture dans lesquels on retrouver tous les bons ingrédients du genre : changements de tempi, bonnes mélodies, passage rapides puis lents etc, les avignonnais déroulent leur savoir faire et raviront tous les fans du genre. Cependant, il faut avouer que les français ne varie pas trop leur sauce et tombe parfois dans la facilité avec des compositions certes bien amenées mais sans surprise et parfois même un peu trop convenues ("Better Days never Come", "Another Way"…) bien que les chœurs relèvent parfois les morceaux ("Ghost Of The Past", "The Problem"…) et que le chant de Julien fasse des merveilles (il me rappelle celui de Duche de Nevrotic Explosion soit dit en passant). Oui, je sais je fais ma fine bouche, mais il faut avouer que Backsight a un énorme potentiel et qu'une bonne prise de risque de bon aloi… La bonne surprise nous vient des malaisiens de Kids On The Move qui distillent leur hardcore péchu avec beaucoup de conviction et de maîtrise. En effet, les asiatiques ne semblent en rien complexés face au "hardcore occidental" (et ils ont bien raison) et vont mettre en œuvre leur entreprise de démolition à la fois légère et subtile (paradoxal, non ?). En effet, même si Kids On The Move pratique une musique sans concession, force est de constater que l'enchaînement des plans et l'interprétation coulent de source et témoignent d'un talent de composition indéniable ("Drop It", "Reality Check"…). Le tour de force des malaisiens est d'arriver à tenir l'auditeur en haleine de bout en bout sans jamais se répéter ni perdre la hargne des morceaux. Ceux qui s'attendent à écouter un hardcore exotique peuvent passer (ou alors s'arrêter sur "Dulu, Kini, Selamanya") leur chemin car Kids On The Move s'avère très professionnel dans son approche et n'a rien à envier à la scène hardcore de par le monde avec des morceaux d'une telle qualité. Chapeau, les p'tits gars ! En conclusion ce split démontre que la scène hardcore fourmille de nombreux groupes d'excellent calibre qui peuvent aller très loin si on leur en donne l'occasion. Encore une fois, Eternalis Records a eu le nez creux en nous présentant ces deux groupes sur ce disque qui risque fort de faire parler de lui dans la sphère hardcore. Du très bon. Vivement la suite et espérons que les malaisiens de Kids On The Move puissent poser leurs amplis de par chez nous bien vite ! [www.metalsickness.com]

Un très joli artwork en général pour ce split entre nos Montpeliérins et Kids on the move venant de Malaise ; une rencontre pour le moins surprenante, mais sympathique et qui s’accorde bien musicalement. D’ailleurs là-dessus, on est un peu perturbé par la pochette puisque les lyrics en premier sont celles de Kids on the move mais le CD démarre sur Backsight, pour ceux qui ne connaissent pas c’est un peu déroutant…6 titres de Backsight et 6 de Kids on the move. De bons titres entre le modern hc et le mélodique hc ; pour Backsight on relèvera : Better days never come (qui a tout d’un tube merde !) et Ghost of the past. Des lyrics qui parlent de rester soi-même et résister à l’aliénation (on sent un travail des textes cf Domination). Backsight utilise beaucoup de chœurs à la NYHC, et en abuse même un peu à mon goût ! (lol) Voyons, voyons passons à Kids on the move : moins fast peut-être que Backsight, mais peut-être aussi un peu plus rock’n’roll. Action though action est plutôt pas mal, le titre en malaisien est très crust ! Les lyrics parlent de retour sur soi individuel et de volonté à changer les choses. Kids on the move est donc un groupe qui donne plus dans le hardcore-punk. Finalement le titre « Bridging oceans » est un joli symbole de l’échange entre Kids on the move et Backsight et on espère que ce genre de chose se multiplieront en général et qu’on aura l’occasion de reparler de ces deux groupes ! [JOCKER IN THE PACK # 2]

On prend quasiment la même équipe de labels et on a un autre disque de HARDCORE dans sa platine CD. Cette fois, c’est un split entre BACKSIGHT (Toulouse) et KIDS ON THE MOVE (Malaisie). Il n’y a bien que la nationalité qui différencie ces deux groupes d’ailleurs ! Car niveau musique, c’est la même chose ! Hardcore New School (c’est ça ?) qui me rappelle les quelques écoutes de COMEBACK KID que j’ai pu faire. Très peu ma came en gros… Et puis vraiment, pourquoi s’obstiner à chanter en anglais ?? Ou est la touche d’originalité ? Comment voulez différencier un groupe français d’un groupe américain ou encore d’un groupe malais dans ce cas là ?? L’accent me répondront les mauvaises langues ! Halalala, l’impérialisme ricain est partout… [PLUS QUE DES MOTS # 3]

Grosse évolution pour Backsight depuis See the damage (2005) ; les compos sont toujours recherchées et mélodieuses, modern old school, avec un son est de très bonne qualité. KOTM pratique le même style que Backsight, avec cependant des guitares misent plus en avant, probablement dû au studio de mixage différent. Encore un bon groupe d'Asie.[GO AHEAD # 0]

Backsight / Kids On The Move ''Brindging Oceans''. (Split CD - Kawaï / Eternals / Field Of Hope / Nothing to Prove). Le label de David Mononoke se spécialise dans la trouvaille de perles HxC qui déchirent, on dirait, avec un groupe français/un groupe d'Asie. Backsight est le groupe français, qui tabasse dans un style HxC oldschool très technique, hyper chiadé. Rien que l'intro du premier morceau vous met dans le bain, entre mélo et efficacité (qui ne sont pas antagonistes, à part chez certains californiens), ça continue ensuite sur la même lignée, avec des breaks de partout. Ca me fait penser à un mélange entre No Time To Lose, Right 4 Life et Raised Fist pour la zique et un chant à la Nevrotic. Une guitare cinglante, une basse qui claque dans les aigues, pas mal de passages mid tempo aux singalong marquants, une batterie carrée et inventive, des paroles travaillées, en anglais, v'là la recette pour pondre six excellents titres. Ca enchaîne rapidos avec les malaisiens qui ont, je trouve, une ressemblance prononcée avec Gorilla Biscuits/Youth of Today. Autrement dit, c'est du bon oldschhool des familles, avec un son bien dans le style, qui rappelle les prods des années 80. Rien d'original, mais çà assure franchement, c'est surtout le chant qui m'a emballé sur ces six titres, dont cinq sont en anglais et un en malaisien (enfin je suppose…). L'esprit est pas mal dans la hargne positive, avec de bons textes à l'appui. Chouette skeud. [HUMAN DISASTER # 7]

Apres une galère de pressage, voici enfin le split CD entre backsight (groupe francais, un premier album sur disagree) et KOTM qui sont malaysiens, niveau zik, c’est tout a fait en concordance avec ce que leurs noms nous évoquent, c’est a dire un mélange d’influences comme Verse, holdxtrue, champion, Comeback kid, better than 1000…. Bon chuis pas ultra fan de cette scène, mais l’écoute de ce disque ne m’est pas désagréable, c’est même plutôt bien foutu. Je préfère la participation des malaysiens, plus speed et un peu moins travaillée,… au final, un bon disque qui séduira tout les fans de ce type de hardcore et un excellent label a soutenir ! [http://crapoulet.fr]